Mes Vagues….
Je n’ai pas pu laisser mes ombres s’en aller,
Je n’ai pas voulu perdre mes douleurs,
Je garde intactes tous mes souvenirs,
J’ai tant rêvé pouvoir encore le dire,
J’ai accepté de vivre tous mes malheurs,
Et retenir en moi tous ses bonheurs ailés,
Je n’ai pas voulu perdre mes douleurs,
Je garde intactes tous mes souvenirs,
J’ai tant rêvé pouvoir encore le dire,
J’ai accepté de vivre tous mes malheurs,
Et retenir en moi tous ses bonheurs ailés,
Je continu de marcher ma vie dans mes choix,
Avec cette partie lourde de mon cœur en larmes,
Je me penche en avant pour avancer mes pas décidés,
Mon âme désolé et reconvertit pour des années ridées,
Je conserve mon passé et même ce qui me désarme,
Fidèle et triste du plus de demain pour ma voie,
Avec cette partie lourde de mon cœur en larmes,
Je me penche en avant pour avancer mes pas décidés,
Mon âme désolé et reconvertit pour des années ridées,
Je conserve mon passé et même ce qui me désarme,
Fidèle et triste du plus de demain pour ma voie,
Mes vagues en houle de vers et de rimes posées,
A nu devant mes mots, je prêche ma blessure,
Inlassablement inscrite sur les pages de vie,
Je n’attends que la suite logique du préavis,
Exposant encore mes émotions sur mes murs,
Moi qui tant de fois encore, m’étais risqué à l’oser,
A nu devant mes mots, je prêche ma blessure,
Inlassablement inscrite sur les pages de vie,
Je n’attends que la suite logique du préavis,
Exposant encore mes émotions sur mes murs,
Moi qui tant de fois encore, m’étais risqué à l’oser,
D’aimer sans raison et cela me plaisait tant,
Au risque de souffrance devant ce vécu si pleuré,
Se perdre à nouveau dans ce choix de ressac éternel,
Sur le sable, pour effacer le roc qui sort de plus belle,
Les yeux fermés de peine et encore à se leurrer,
Je crois encore au « je t’aime » de ces temps…
Au risque de souffrance devant ce vécu si pleuré,
Se perdre à nouveau dans ce choix de ressac éternel,
Sur le sable, pour effacer le roc qui sort de plus belle,
Les yeux fermés de peine et encore à se leurrer,
Je crois encore au « je t’aime » de ces temps…
Le Crieur…
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